La Sexomnie, vous connaissez ?

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La Sexomnie, vous connaissez ?

Vous savez que chez Le Cul bordé de Nouilles, ça nous tient à cœur (ou à cul) de vous faire découvrir (ou redécouvrir) des choses liées à la sexualité. Un peu comme un point culture G (Culture G, point G … Vous l’avez ?) pour apprendre des choses et briller en société lors d’un dîner mondain.

La dernière fois, vous avez pu vous délecter de l’article « Le Ballbusting, vous connaissez ? ». Si vous ne l’avez pas lu, nous vous invitons cordialement à aller le lire parce qu’il est vraiment bien quand même, si si on vous assure, il est top de chez top.

Aujourd’hui, nous allons parler : Sexomnie !

La Sexomnie, c’est quoi ?

Premièrement, il est essentiel de dire que la sexomnie n’est pas une maladie. La sexomnie est un trouble du sommeil plutôt considéré comme une forme de somnambulisme.

En somme, c’est une montée brutale du désir sexuel pendant le sommeil qui conduit les personnes à pratiquer des actes sexuels, sans en avoir conscience et en ayant une amnésie totale le lendemain.

Quels sont les symptômes ?

Les symptômes sont vastes puisque nous parlons d’actes sexuels, c’est-à-dire qui peuvent se traduire par des gémissements, des masturbations, des orgasmes, des pénétrations, des caresses, … Sur soi et sur autrui.

Il est important de signifier que les comportements sexuels lors d’une crise de sexomnie sont très différents des comportements sexuels hors crise. La conscience n’étant pas complètement présente, les comportements sexuels sont plus « bestial/animal ». En effet, le sexomniaque agit sans aucune inhibition.

Notons aussi que ces comportements nocturnes peuvent être occasionnels ou chroniques.

Comme beaucoup de choses, on ne sait pas exactement à quoi cela est dû. Cependant, même si on ne connaît pas la cause exacte de ce trouble, il pourrait être lié à : l’apnée du sommeil, le manque de sommeil, la consommation d’alcool ou de drogues, les états de stress, de récents traumatismes émotionnels, …

Un des problèmes majeurs lié à ce trouble, c’est que l’on ne sait pas nous même que nous sommes sexomniaque. La seule manière de le savoir c’est qu’un « spectateur » nous prévienne. Genre, notre partenaire de dodo;

Quels sont les risques ?

Le risque principal est évidemment l’absence de consentement de la part de chacun.

De plus, ces crises peuvent arriver à des moments ou avec des personnes où la relation sexuelle n’est pas du tout la bienvenue.

Crédit : La moustache de la dame

Le conseil du Cul ?

S’il vous arrive d’être face à une personne ayant une crise de sexomnie, réveillez la ! Expliquez-lui, dites-lui le lendemain, ne la laissez pas dans l’ignorance.

La sexomnie pourrait paraitre sexy mais ce n’est pas le cas. Par contre, le consentement, ça, c’est sexy putain !

L'incarnation du magazine, avec sa propre personnalité, ses propres aventures et ses propres récits. Il est libre, ouvert et souvent incorrect. Derrière lui se cache tout.e.s les rédactr.ices.eurs qui ne veulent pas donner leurs identités lors de certaines histoires. Il est la liberté d'être ce qu'on veut à jamais : Épanoui et en train de manger des pâtes !

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