Ce qui m’intrigue chez mon partenaire et ce qui me fascine.
Tout commence par son corps. Sa silhouette, imparfaite, longiligne, avec ses grains de beauté. Sa peau, douce, que mes lèvres frôlent. J’aime haleter dans son cou et sur son torse, qu’il soit surpris par la chaleur de mon souffle. Mon visage et mon corps glissent lentement le long du sien, mes cheveux caressent sa peau.
C’est là que je sens son sexe dur contre mon ventre et son soupir d’excitation. Un homme n’est jamais sûr de ce que l’on s’apprête à lui faire tant qu’on n’est pas descendu sous son nombril. Là, j’ai l’envie irrésistible de le prendre dans ma bouche.
La peau de son sexe est incroyablement douce.
Ça restera une chose inexplicable et terriblement attirante. La toucher, la parcourir du bout des doigts est agréable, rassurante. Voir son sexe en mouvement, par désir, est flatteur. Son gland se découvre, et parfois perle de plaisir. Son frein est tendu, sa bite gorgée de sang, et moi pleine d’envie.
Je pose mes lèvres mouillées au sommet de sa verge et fais glisser ma bouche jusqu’à ce que son sexe s’enfonce au mieux, en épousant sa forme. Au-delà de ce plaisir solitaire, l’entendre s’exprimer, gémir comme s’il s’agissait d’une délivrance face à l’attente, est orgasmique.
C’est là que mon corps lui, réagit, prête à l’accueillir.
Mais ce soir, ce sera juste lui. J’aime le surprendre par quelques vibrations de langues autour de son gland, je sens qu’il est surpris, mais intrigué. Je continue et allie à cela mes doigts autour de lui. Je le caresse et le suce, entremêlant mes doigts. Plus le plaisir dure plus son souffle me rend dingue. Un goût de sel vient se glisser sur ma langue, ma salive s’y joint.
Sa main se glisse dans mes cheveux pour s’arrêter au dos de ma tête. Son bassin ondule et se cambre. Je l’ai au fond de la gorge. Son désir se fait crescendo, d’abord par ses gémissements, puis par son éjaculation. Cette réaction me fascinera toujours.