Chez Le Cul bordé de Nouilles Magazine, on passe beaucoup de temps au bureau, mais cela ne se passe jamais comme dans cette fiction. Et vous ? :
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Jeudi, 8h30
Notre jour. Celui où il me fait perdre pied car il les porte à son cou, celui où je ne suis plus seulement sa collègue mais également l’objet d’un fantasme, celui où nos sextos deviennent réalité.
Ce que j’aime dans notre jeu du chat et de la souris, c’est cette emprise qu’il a sur moi. Mes jambes tremblent, je ne sais plus aligner 2 mots, et je sens l’excitation glisser entre mes cuisses…
Le sexe brutal le fait bander, et il sait que je ne peux rien lui refuser.
J’entre dans le bureau, frôle le dossier de sa chaise puis rejoins mon siège. Il met la main dans sa poche pour en retirer le contenu, me regarde avec stupeur, la bouche entrouverte, et esquisse un sourire.
Il commence par me parler de choses futiles, mais je suis brûlante et l’attente est un supplice. Il se délecte de me voir ainsi.
Je tente de me concentrer, mais les images de notre dernière fois me reviennent. Ma poitrine juvénile plaquée contre la table, l’odeur de son sperme mêlé à mon parfum, ma culotte mouillée et mes joues rouge vif.
Il se lève, s’approche, et reste debout près de moi.
Ses yeux noirs fixent les miens, je me demande ce qu’il a en tête.
Sa main vient caresser ma joue, puis ma bouche, et je goûte ses doigts, en continuant de le regarder. Ma main vient se poser sur ma poitrine, je sens mon mamelon durcir, l’excitation être de plus en plus intense.
Je m’aperçois qu’il bande dans son jeans, et entreprends de lent vas et viens avec ma main. Il se pince les lèvres, et cela me fait l’effet d’une bombe. Mon sexe est gonflé, je croise les jambes et fais des mouvements de hanches. La couture de mon jean frotte mon clitoris, appuyant légèrement de chaque côté en fonction de ma position. C’est un régal.
Il ne faut pas que je gémisse, mais c’est si dur de résister ! Ma salive s’est invitée sur mes lèvres et mes joues, et ce n’est pas pour lui déplaire.
J’ai envie de jouir, de crier, de le sucer, qu’il me pénètre sans attendre, la main sur ma bouche, l’autre sur mon clitoris ! Mais nous devons patienter.
12h00
Plus que quelques minutes et nous pourrons nous éclipser pour qu’il me fasse jouir.
J’exulte à l’idée de lui enlever ses vêtements, de sentir sous mes doigts ses cheveux trempés de sueur, de goûter sa peau, et de finir sur nos orgasmes simultanés.
Pour l’instant, je suis au bord de l’implosion.
Il me regarde, satisfait de son influence.
Mais revenons quelques lignes plus haut, à sa réaction lorsqu’il a pris la petite culotte que j’avais glissé dans sa poche …
Une autre fiction ?
Charline